Il existe 2 modes de collectes du triur le territoire du syndicat :
Le S.E.M.O.C.T.O.M. a implanté ses premiers conteneurs à verre en 1985, à papier en 1987 et à bouteilles plastiques en 1989. Le territoire restera en grande majorité en apports volontaires jusqu'en 2010, année de bascule qui verra 90% des foyers équipés en bacs à couvercles jaunes pour une collecte à domicile.
Téléchargez nos guides de tri :
1)
Guide de tri avec compostage individuel
2)
Guide de tri avec collecte des dechets alimentaires en porte à porte
( Beychac-et-Cailleau, Saint-Sulpice-et-Cameyrac et Saint-Loubès uniquement à partir du 20 janvier 2020)
A mettre en vrac dans le bac à couvercle jaune, uniquement les emballages propres et secs :
Les volumes des bacs à couvercle jaune (bac de tri) varient en fonction de la taille des foyers et sont adaptés pour permettre le stockage des recyclables sur 15 jours.
Dimensionnement des bacs de tri à couvercles jaunes :
Le verre est collecté à domicile sur 5 communes du territoire (St-Loubès, Pompignac, Tresses, Carignan-de-bordeaux et Capian). Ces communes ont accepté un surcoût de collecte pour bénéficier de ce service.
Il est collecté une fois toutes les 4 semaines en bac de 120 litres à couvercle vert uniquement (la collecte en caissette est désormais interdite).
Après le tri et la collecte, les matériaux recyclables sont revendus aux différentes filières. Ces ventes viennent alimenter les recettes de la collectivité et permettent l'allégement des coûts de fonctionnement du S.E.M.O.C.T.O.M
Pour connaitre les différentes entreprises de valorisation qui travaillent avec le S.E.M.O.C.T.O.M., vous pouvez consulter le document suivant :
C'est une réflexion que l'on entend très souvent. Après des années où le tri a coûté plus cher parce qu'il fallait développer les moyens de la collecte, chaque tonne supplémentaire de matériaux recyclables contribue aujourd'hui à diminuer le coût global ou à limiter les hausses du service (depuis 3 ans pour le SEMOCTOM).…La raison est que désormais tous les moyens techniques sont en place. Il n'y a plus de "dépenses supplémentaires" mais uniquement des "recettes supplémentaires".
Ces puces sont destinées à identifier les bacs et facilitent la gestion du parc de conteneurs.
Elles peuvent servir également à établir des statistiques et permettront l’identification des foyers si un changement du mode de financement du service devait intervenir (décision d'une redevance incitative par exemple)
Ils permettent aussi de mettre en place une redevance incitative.
Nous ne mettrions pas tous ces moyens en action s'il s’agissait de tout mélanger ensuite… Chaque matériau recyclable a une filière spécifique de valorisation ( lien sur le circuit des déchets). De très rares incidents techniques (1 fois en 15 ans au SEMOCTOM) peuvent expliquer que des habitants aient assisté à un "mélange" inopiné qui alimente une sorte de "rumeur"...
Les papiers cartons, les bouteilles en plastiques et les contenants en acier et en aluminium.
Les erreurs de tri que l'on constate sont très souvent liées à des matériaux en plastique (films, emballages..), comme si la consigne "bouteilles en plastique" n'était pas suffisante et que chacun l'interprétait par "extension".
Cependant, une expérimentation est en cours en France et pourrait aboutir à une augmentation des matériaux qui pourraient être triés. Mais pour que cette évolution puisse être engagée, elle nécessite notamment une adaptation des centres de tri ainsi que le développement des filières de réutilisation.
Trier permet d’économiser des matières premières prélevées dans la nature, dont on sait aujourd'hui qu'elles ne sont pas inépuisables. Au lieu d'être détruits, ces matières déjà transformées vont être réutilisés une ou plusieurs autres fois (en fonction des matériaux) parfois de manière illimitées (pour le verre). le tri est développé dans tous les pays industrialisés (Europe, Australie, Japon, Canada, USA...)