Parce que collecter et traiter les déchets coûtera de plus en plus cher, en 2024 chaque français devra disposer d’une solution pour valoriser ses déchets alimentaires...
Les travaux vont démarrer en juin pour créer une nouvelle extension à la déchèterie de Tresses, celle-ci devrait ouvrir ses portes en juin 2023.
L’opération pilote lancée par le SEMOCTOM dès 2019 et dont la première collecte a eu lieu le 20 janvier 2020, a depuis vécu des situations extraordinaires.
Depuis le 20 janvier 2020, une collecte en porte à porte des déchets alimentaires a démarré à Saint-Loubès, Beychac & Cailleau et St Sulpice et Cameyrac.
Les 6 déchèteries du SEMOCTOM sont éqtuipés depuis le mois de janvier 2019 de barrières et de terminaux informatiques pour en controler l'accès. La mise en place de ce système permet, entre autre, de mieux gérer la circulation sur les différents sites et de faire un meilleur tri des matériaux. Il necessite l'obtention d'un code par foyer
Depuis le 3 octobre 2017 , la déchèterie de St Germain-du-Puch est équipée d'une benne spéciale pour les déchets d'ameublement . Avec la mise en place de cette quatrième benne ( les autres déchèteries seront équipées ulterieurement à raison d'une implantation par an), le SEMOCTOM, avec la participation intensive des habitants, espère valoriser près de 200 tonnes de déchets qui jusqu'ici partait à l'enfouissement via la benne des encombrants.
Les zones de gratuité SEMOCTOM sont des espaces aménagés sur les déchèteries où les usagers peuvent déposer des objets en bon état dont ils n'ont plus besoin, mais qui sont encore fonctionnels. Les dépôts et les retraits d'objets y sont totalement gratuits, l'objectif étant de favoriser la réutilisation des objets et donc l'allongement de leur durée d'usage.
A partir du 1er juillet 2016, les sacs plastique à usage unique ne seront plus distribués en caisse des magasins. Mercredi 29 juin 2016, Ségolène Royal a réuni les territoires, associations, distributeurs et industriels concernés par cette mesure visant à limiter leur usage. Objectif : réduire les impacts environnementaux de la production et de la distribution de ces sacs, mais aussi les pollutions dont ils sont responsables.
Environ 50 000 tonnes de déchets diffus spécifiques sont produits chaque année en France, dont seul un tiers est actuellement collecté séparément. Ces déchets représentent une double menace : sanitaire, pour les professionnels en charge de leur collecte, et environnementale, en matière notamment de pollution des eaux...